Honorer Samuel Paty – Honorer la République

  Délégué régional Sud-Ouest et membre du conseil d’administration d’Unité Laïque – association populaire qui a pour objet la défense, la promotion et le développement de la laïcité et des principes républicains en France, je milite pour la mise en avant de la mémoire de Samuel Paty et de Dominique Bernard.
  Jusqu’ici, plus de 80 municipalités ont répondu à notre initiative.

Ma devise

La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une.

  Voilà une phrase qui résume parfaitement l’essence de la laïcité en tant que principe fondateur de la République française. Cette idée souligne que la laïcité n’est pas une simple opinion parmi d’autres, mais une condition nécessaire à la libre expression de toutes les opinions.

1912 – Abraham Matisson quitte Riga en Lettonie et arrive en France, il emmène avec lui une formule issue du BUND letton  » la liberté de pensée n’est pas une opinion, mais permet une pensée libre ». Il était révolutionnaire du BUND et un jour, dans une taverne, un officier tzariste lui demande de porter un toast au Tzar. Abraham refuse et, dans l’altercation qui suit, il enfonce sa pinte dans la figure de l’officier. Il est alors obligé de fuir Riga avec sa famille. Histoire vraie ou légendaire ? nul ne le sait…

1980 – Maurice Matisson reprend et transforme la devise de son père dans sa forme actuelle.

1998 – Jean-Marie Matisson donne à cette devise sa dimension nationale quand il est président du
CLR. Il en fait sa devise personnelle puis, alors qu’ildevient Grand-Maître adjoint du GODF, la devise entre au Grand Orient – au même titre que les Prix nationaux et Internationaux de la Laïcité dont il a eu l’idée, et dont les premiers prix sont décernés à Artigues-près-Bordeaux.

Quelques reprises de ma devise

Gouvernement

Ma devise reprise par le ministère de l’Intérieur.
->Visiter le site<-

Ligue de l'enseignement

Ma devise reprise par le président de la Ligue de l’Enseignement.
->Lire l’article<-

Municipalités

Ma devise reprise dans la charte de la laïcité de la commune de Ramonville.
->Lire la charte<-

Comité Laïcité République

Ma vision de la laïcité

  Ma vision de la Laïcité est simple, inutile de la compliquer ou de lui coller un adjectif. Elle vise l’intérêt général de la République et non des intérêts particuliers. C’est d’abord un principe de stricte égalité des citoyens quelles que soient leurs origines. C’est ensuite une philosophie basée sur les Droits de l’homme et du citoyen. C’est enfin un corpus juridique basée sur la Loi de 1905 qui institutionnalise la séparation des églises et de l’État, interdit le financement ou le salariat des églises et enfin oblige les agents de l’état à respecter une stricte neutralité.
  Être citoyen, ce n’est pas appartenir à une confession. En tant que membre d’une confession, tu n’es rien quand en tant que citoyen tu es tout. Comprendre cela, c’est être républicain.

  De la même façon que le Juif est le baromètre de l’Histoire, la femme est le baromètre de la Laïcité, s’en prendre à eux, c’est s’en prendre à l’Humanité et à l’Universel. Voici deux phares de la laïcité qui permettent de rester dans les rails de la République.
  La laïcité est universelle, se servir d’elle pour rejeter une partie de la population est en fait du fascisme…
  La laïcité est un principe d’émancipation et non pas de soumission. On n’interdit pas les particularismes, bien au contraire, on les défend et on les admet tant qu’ils sont conformes à la loi commune elle-même fondée sur les droits de l’Homme et du Citoyen.
  Voilà ma vision de la Laïcité.

Commission Stasi : l'intervention de Matisson

  La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une
  La laïcité n’est ni dogmatique ni intégriste, elle est le cadre dans lequel un individu est libre de pratiquer ou non une religion ; de critiquer ou non un dogme ; de croire ou non en une vérité révélée…
  Clef de voûte de l’édifice républicain, la laïcité est le garant essentiel des libertés individuelles et de l’égalité des droits. Elle constitue, encore aujourd’hui, le fondement indispensable de l’harmonie sociale et de l’unité de la nation.
  En défendant le droit absolu à la liberté de conscience, à la liberté d’expression et au libre choix, la laïcité contribue à la construction d’un humanisme moderne qui donne à chaque femme et à chaque homme un accès égal aux connaissances et aux responsabilités ; aux mêmes Droits et aux mêmes Devoirs.
  Défenseurs, ici, de la Laïcité – fondement de la République – notre position diffère notoirement de celles de certaines personnalités et organisations que vous avez reçues jusqu’à maintenant et qui s’abritent derrière la laïcité pour défendre, en réalité, une position dogmatique, œcuménique ou communautariste. Nous refusons de réduire le sens de la laïcité, ou de l’école publique, à l’affirmation qu’elles permettent à chaque religion de trouver sa place. Nous élargissons le champ d’action de la laïcité. Elle n’est pas seulement la séparation des Églises et des États. Elle est, au contraire, un principe universel, porteur d’avenir et d’espoir pour tous les Hommes, qu’ils soient agnostiques, athées ou croyants, comme ceux qui ne se reconnaissent dans aucune de ces définitions.
  Nous disons aussi qu’aujourd’hui, la croyance en un dogme n’est plus le fait de la majorité
      Mardi 18 novembre 2003, Conseil d’Etat

Meeting laïque du 1er octobre 2005 à Paris

Jean-Marie Matisson, au nom des 47 000 francs-maçons du Grand Orient de France, a dénoncé les propos des ministres Sarkozy, Baroin et Gilles de Robien, comme autant de remises en cause de la laïcité et de la République.
  Organisant un colloque international le 9 décembre, le Grand Orient de France propose de faire de ce jour un jour férié de la laïcité, afin « d’en finir avec les cérémonies officielles religieuses » et les « territoires perdus de la République ».
Jean-Marie Matisson s’est déclaré « fier d’être franc-maçon » et a estimé que le Grand Orient de France était bien à sa place dans ce meeting et dans l’appel public à la manifestation du 10 décembre 2005. Rappelant que « la laïcité, ce n’est pas une opinion, mais le droit d’en avoir une », il a conclu en expliquant :

Être franc-maçon, c’est être laïque, républicain et antifasciste. 

Honorer Samuel Paty – Honorer la République

  Membre du Conseil d’administration d’Unité Laïque – association populaire qui a pour objet la défense, la promotion et le développement de la laïcité et des principes républicains en France, je milite pour la mise en avant de la mémoire de Samuel Paty.
  Jusqu’ici, plus de 80 municipalités ont répondu à notre appel.

Ma devise

La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une.

  Voilà une phrase qui résume parfaitement l’essence de la laïcité en tant que principe fondateur de la République française. Cette idée souligne que la laïcité n’est pas une simple opinion parmi d’autres, mais une condition nécessaire à la libre expression de toutes les opinions.

1912 – Abraham Matisson quitte Riga en Lettonie et arrive en France, il emmène avec lui une formule issue du BUND letton  » la liberté de pensée n’est pas une opinion, mais permet une pensée libre ». Il était révolutionnaire du BUND et un jour, dans une taverne, un officier tzariste lui demande de porter un toast au Tzar. Abraham refuse et, dans l’altercation qui suit, il enfonce sa pinte dans la figure de l’officier.

 Il est alors obligé de fuir Riga avec sa famille. Histoire vraie ou légendaire ? nul ne le sait…

1980 – Maurice Matisson reprend et transforme la devise de son père dans sa forme actuelle.

1998 – Jean-Marie Matisson donne à cette devise sa dimension nationale quand il est président du
CLR. Il en fait sa devise personnelle puis, alors qu’ildevient Grand-Maître adjoint du GODF, la devise entre au Grand Orient – au même titre que les Prix nationaux et Internationaux de la Laïcité dont il a eu l’idée, et dont les premiers prix sont décernés à Artigues-près-Bordeaux.

Quelques reprises de ma devise

Gouvernement

Ma devise reprise par le ministère de l’Intérieur.
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Ligue de l'enseignement

Ma devise reprise par le président de la Ligue de l’Enseignement.
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Municipalités

Ma devise reprise dans la charte de la laïcité de la commune de Ramonville.
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Comité Laïcité République

Ma vision de la laïcité

  Ma vision de la Laïcité est simple, inutile de la compliquer ou de lui coller un adjectif. Elle vise l’intérêt général de la République et non des intérêts particuliers. C’est d’abord un principe de stricte égalité des citoyens quelles que soient leurs origines. 

C’est ensuite une philosophie basée sur les Droits de l’homme et du citoyen. C’est enfin un corpus juridique basée sur la Loi de 1905 qui institutionnalise la séparation des églises et de l’État, interdit le financement ou le salariat des églises et enfin oblige les agents de l’état à respecter une stricte neutralité.
  Être citoyen, ce n’est pas appartenir à une confession. En tant que membre d’une confession, tu n’es rien quand en tant que citoyen tu es tout. Comprendre cela, c’est être républicain.
  De la même façon que le Juif est le baromètre de l’Histoire, la femme est le baromètre de la Laïcité, s’en prendre à eux, c’est s’en prendre à l’Humanité et à l’Universel. Voici deux phares de la laïcité qui permettent de rester dans les rails de la République.
  La laïcité est universelle, se servir d’elle pour rejeter une partie de la population est en fait du fascisme…
  La laïcité est un principe d’émancipation et non pas de soumission. On n’interdit pas les particularismes, bien au contraire, on les défend et on les admet tant qu’ils sont conformes à la loi commune elle-même fondée sur les droits de l’Homme et du Citoyen.
  Voilà ma vision de la Laïcité.

Commission Stasi : l'intervention de Matisson

  La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une
  La laïcité n’est ni dogmatique ni intégriste, elle est le cadre dans lequel un individu est libre de pratiquer ou non une religion ; de critiquer ou non un dogme ; de croire ou non en une vérité révélée…
  Clef de voûte de l’édifice républicain, la laïcité est le garant essentiel des libertés individuelles et de l’égalité des droits. Elle constitue, encore aujourd’hui, le fondement indispensable de l’harmonie sociale et de l’unité de la nation.
  En défendant le droit absolu à la liberté de conscience, à la liberté d’expression et au libre choix, la laïcité contribue à la construction d’un humanisme moderne qui donne à chaque femme et à chaque homme un accès égal aux connaissances et aux responsabilités ; aux mêmes Droits et aux mêmes Devoirs.
  Défenseurs, ici, de la Laïcité – fondement de la République – notre position diffère notoirement de celles de certaines personnalités et organisations que vous avez reçues jusqu’à maintenant et qui s’abritent derrière la laïcité pour défendre, en réalité, une position dogmatique, œcuménique ou communautariste. Nous refusons de réduire le sens de la laïcité, ou de l’école publique, à l’affirmation qu’elles permettent à chaque religion de trouver sa place. Nous élargissons le champ d’action de la laïcité. Elle n’est pas seulement la séparation des Églises et des États. Elle est, au contraire, un principe universel, porteur d’avenir et d’espoir pour tous les Hommes, qu’ils soient agnostiques, athées ou croyants, comme ceux qui ne se reconnaissent dans aucune de ces définitions.
  Nous disons aussi qu’aujourd’hui, la croyance en un dogme n’est plus le fait de la majorité
      Mardi 18 novembre 2003, Conseil d’Etat

Meeting laïque du 1er octobre 2005 à Paris

Jean-Marie Matisson, au nom des 47 000 francs-maçons du Grand Orient de France, a dénoncé les propos des ministres Sarkozy, Baroin et Gilles de Robien, comme autant de remises en cause de la laïcité et de la République.
  Organisant un colloque international le 9 décembre, le Grand Orient de France propose de faire de ce jour un jour férié de la laïcité, afin « d’en finir avec les cérémonies officielles religieuses » et les « territoires perdus de la République ».
Jean-Marie Matisson s’est déclaré « fier d’être franc-maçon » et a estimé que le Grand Orient de France était bien à sa place dans ce meeting et dans l’appel public à la manifestation du 10 décembre 2005. Rappelant que « la laïcité, ce n’est pas une opinion, mais le droit d’en avoir une », il a conclu en expliquant :

Être franc-maçon, c’est être laïque, républicain et antifasciste. 

Honorer Samuel Paty,
honorer la République

  Délégué régional Sud-Ouest et membre du conseil d’administration d’Unité Laïque – association populaire qui a pour objet la défense, la promotion et le développement de la laïcité et des principes républicains en France, je milite pour la mise en avant de la mémoire de Samuel Paty et de Dominique Bernard.
  Jusqu’ici, plus de 80 municipalités ont répondu à notre initiative.

Ma devise

La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une.

  Voilà une phrase qui résume parfaitement l’essence de la laïcité en tant que principe fondateur de la République française. Cette idée souligne que la laïcité n’est pas une simple opinion parmi d’autres, mais une condition nécessaire à la libre expression de toutes les opinions.

1912 – Abraham Matisson quitte Riga en Lettonie et arrive en France, il emmène avec lui une formule issue du BUND letton  » la liberté de pensée n’est pas une opinion, mais permet une pensée libre ». Il était révolutionnaire du BUND et un jour, dans une taverne, un officier tzariste lui demande de porter un toast au Tzar. Abraham refuse et, dans l’altercation qui suit, il enfonce sa pinte dans la figure de l’officier. Il est alors obligé de fuir Riga avec sa famille. Histoire vraie ou légendaire ? nul ne le sait…

1980 – Maurice Matisson reprend et transforme la devise de son père dans sa forme actuelle.

1998 – Jean-Marie Matisson donne à cette devise sa dimension nationale quand il est président du
CLR. Il en fait sa devise personnelle puis, alors qu’ildevient Grand-Maître adjoint du GODF, la devise entre au Grand Orient – au même titre que les Prix nationaux et Internationaux de la Laïcité dont il a eu l’idée, et dont les premiers prix sont décernés à Artigues-près-Bordeaux.

Quelques reprises de ma devise

Gouvernement

Ma devise reprise par le ministère de l’Intérieur.
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Ligue de l'enseignement

Ma devise reprise par le président de la Ligue de l’Enseignement.
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Municipalités

Ma devise reprise dans la charte de la laïcité de la commune de Ramonville.
->Lire la charte<-

Comité Laïcité République

Ma vision de la laïcité

  Ma vision de la Laïcité est simple, inutile de la compliquer ou de lui coller un adjectif. Elle vise l’intérêt général de la République et non des intérêts particuliers. C’est d’abord un principe de stricte égalité des citoyens quelles que soient leurs origines. C’est ensuite une philosophie basée sur les Droits de l’homme et du citoyen. C’est enfin un corpus juridique basée sur la Loi de 1905 qui institutionnalise la séparation des églises et de l’État, interdit le financement ou le salariat des églises et enfin oblige les agents de l’état à respecter une stricte neutralité.
  Être citoyen, ce n’est pas appartenir à une confession. En tant que membre d’une confession, tu n’es rien quand en tant que citoyen tu es tout. Comprendre cela, c’est être républicain.

  De la même façon que le Juif est le baromètre de l’Histoire, la femme est le baromètre de la Laïcité, s’en prendre à eux, c’est s’en prendre à l’Humanité et à l’Universel. Voici deux phares de la laïcité qui permettent de rester dans les rails de la République.
  La laïcité est universelle, se servir d’elle pour rejeter une partie de la population est en fait du fascisme…
  La laïcité est un principe d’émancipation et non pas de soumission. On n’interdit pas les particularismes, bien au contraire, on les défend et on les admet tant qu’ils sont conformes à la loi commune elle-même fondée sur les droits de l’Homme et du Citoyen.
  Voilà ma vision de la Laïcité.

Commission Stasi :
l'intervention de Matisson

  La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une
  La laïcité n’est ni dogmatique ni intégriste, elle est le cadre dans lequel un individu est libre de pratiquer ou non une religion ; de critiquer ou non un dogme ; de croire ou non en une vérité révélée…
  Clef de voûte de l’édifice républicain, la laïcité est le garant essentiel des libertés individuelles et de l’égalité des droits. Elle constitue, encore aujourd’hui, le fondement indispensable de l’harmonie sociale et de l’unité de la nation.
  En défendant le droit absolu à la liberté de conscience, à la liberté d’expression et au libre choix, la laïcité contribue à la construction d’un humanisme moderne qui donne à chaque femme et à chaque homme un accès égal aux connaissances et aux responsabilités ; aux mêmes Droits et aux mêmes Devoirs.
  Défenseurs, ici, de la Laïcité – fondement de la République – notre position diffère notoirement de celles de certaines personnalités et organisations que vous avez reçues jusqu’à maintenant et qui s’abritent derrière la laïcité pour défendre, en réalité, une position dogmatique, œcuménique ou communautariste. Nous refusons de réduire le sens de la laïcité, ou de l’école publique, à l’affirmation qu’elles permettent à chaque religion de trouver sa place. Nous élargissons le champ d’action de la laïcité. Elle n’est pas seulement la séparation des Églises et des États. Elle est, au contraire, un principe universel, porteur d’avenir et d’espoir pour tous les Hommes, qu’ils soient agnostiques, athées ou croyants, comme ceux qui ne se reconnaissent dans aucune de ces définitions.
  Nous disons aussi qu’aujourd’hui, la croyance en un dogme n’est plus le fait de la majorité
      Mardi 18 novembre 2003, Conseil d’Etat

Meeting laïque du 1er octobre 2005 à Paris

Jean-Marie Matisson, au nom des 47 000 francs-maçons du Grand Orient de France, a dénoncé les propos des ministres Sarkozy, Baroin et Gilles de Robien, comme autant de remises en cause de la laïcité et de la République.
  Organisant un colloque international le 9 décembre, le Grand Orient de France propose de faire de ce jour un jour férié de la laïcité, afin « d’en finir avec les cérémonies officielles religieuses » et les « territoires perdus de la République ».
Jean-Marie Matisson s’est déclaré « fier d’être franc-maçon » et a estimé que le Grand Orient de France était bien à sa place dans ce meeting et dans l’appel public à la manifestation du 10 décembre 2005. Rappelant que « la laïcité, ce n’est pas une opinion, mais le droit d’en avoir une », il a conclu en expliquant :

Être franc-maçon, c’est être laïque, républicain et antifasciste.